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-Lorsque tout m’décois , j’prend du papier un stylo, une feuille,

-J’ai pour défaut, de souvent écrire c’que ressent mon cœur,

-Jamais d’joie dans mes textes, sous prétexte que j’suis triste,

-Si J’kiff pas cette vie, C’es  peut être que j’me l’interdit !

-J’cache mon mal être dans cette musique, J’raconte des anecdotes,

-Loin des années folles,j’ai grandi dans cette sale époque !

-Narrateur des temps modernes ,L’arbre à fleuri sans votre aide,

-J’tente de la remonter, Mais cette grosse pute de Pente est raide !

-Piqué à l écriture, je vois des mots sur tous les murs,une boulimie, et tous les jours,comme Houdini, je joue des tour.

-Ça vaut l’détour, et au départ, on faisait ça en bas des tours,pour le plaisir, loin de se dire, que pour la zik certains s’dépouillent !

-Elle a gâché des amitié, pas besoin d’ami à mi temps ! Être trop gentil c est s’faire Niquer crois moi y a rien d’palpitant !.

-Verbe, complément, sujet,j’reste complètement subjectif,on m’dit souvent tu médites, ? Tu mérites plus !

-J’me lève avant Ie réveil, j’anticipe cette vie de carnassiers,une jungle aux cœurs cadenassés par peur d’se faire caillaisser.

-J’veux voir les cadenas scier, pas d’langue de pute, qu’on se parle sans filtre, le savoir se transfert, de chacun nous sommes apprenti.

-J’me casse le dos, alors que je n’irai peut-être pas jusqu’à la retraite ou peut-être que j y arriverai,avec des crédits et d’l’arthrose,

-J’ai beau peaufiner ma prose, bosser mes morceaux , poser mes coronès, parfois J’suis trop honnête,

-Et j’me met à poil, sur la zik pourtant J’suis pas nudiste,une instru, un bol d’air, et je saute comme un parachutiste !

-Je n’suis pas novice, mais cette vie a beaucoup à nous apprendre, la politesse et le respect, ne s’mettent pas sur un compte en banque !

-Honte à toi, si tu laisses ta darone en larme, faut qu on en parle, dans l’frigo c’est la Hass comme à koh Lanta !

-Chacun sa biographie, j’ai su me relever quand j’étais au tapis, des déceptions amoureuses, amicales, mais trop tapinent !

-Mieux vaut avancer seul qu’ être mal accompagné,

-Rien que d’ y penser ça m’rend taré, gros j’ai du mal à t’en parler,

-Le sang d’la veine, un cran d’arrêt, mieux vaut marquer un temps d’arrêt !

-J’entre en claquette dans l’arène, pour ce morceau pas d antares !

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-Merci à toi, si un jour tu m as donné la force

-Merci à toi et tes oreilles d’avoir saigné l’album

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Zbeng #CHACALTOXIC !